Traduction
Saturday, December 26, 2015
Wednesday, July 8, 2015
Défis planétaires / Eveil de la conscience
La pensée, associée à la visualisation est une force de création des plus puissantes.
Faire mine de l’ignorer, quand la conjugaison des multiples "seuils limites" - écologiques, économiques, sociaux - met la civilisation face à un échéancier implacable, est le moyen le plus rapide d'auto-réaliser collectivement les catastrophes annoncées.
Surtout si, encouragés par les médias, nous nous focalisons collectivement sur le sujet de manière tout aussi quotidienne que trop souvent alarmiste, vindicative ou morbide. Alors qu'est-ce qu'on fait ?
Nier ou ignorer des faits aussi têtus qu'accablants ne ferait que les renforcer.
Donc je m'abstiens.
Feindre d’ignorer les sentiments que ces faits activent en moi me priverait de toute capacité d’agir en conscience et en responsabilité à mon niveau.
Encore une fois, je m'abstiens.
En fait ces sentiments ne sont qu’un des multiples aspects résultant de l’illusion tenace
dans laquelle nous sommes pris, faute d’oser définitivement vivre l’aventure de l’ouverture du Cœur à une réalité plus vaste que celle autorisée par notre ego.
En effet, quand l'angoisse me prend, que le coup de blues s'installe, que la colère et l’indignation font leur show, que la peur m'endort ou me paralyse, la seule réponse possible est-il d'y succomber ? Très tentant pour le repos et le confort… mais à long terme ?
Mon intime conviction me fait entrevoir Ici et Maintenant d'autres perspectives possibles et autrement plus inspirantes pour le Cœur et l’Esprit.
Plutôt que de manquer de foi dans la force de mon Esprit, je fais donc le pari de continuer à visualiser le monde
droits de l’homme, des femmes, des enfants, des peuples, de la terre, des animaux, droit à la santé, à l’éducation, à la différence, à la justice, droit à la liberté fondamentale de penser, circuler, aimer à sa guise, protection des plus vulnérables, abolition de la misère, de la peine de mort…
Et si Ici et Maintenant chacun de nous manifestait l’énergie du Cœur ?
Et si Ici et Maintenant chacun de nous réduisait la place accordée à celle de l’ego ?
J'ai le privilège avec beaucoup d'entre vous heureusement, même si nous formons une toute petite minorité, de vivre à l'abri de l’état de survivance minimale ou d’extrême insécurité réservé par nos choix collectifs à l'immense majorité de la population mondiale.
Tout en me livrant à mes activités les plus ordinaires, j'ai donc aussi la chance de bénéficier d’une marge de manœuvre suffisamment confortable pour m’adonner activement à la manifestation d’une conscience éclairée par le Cœur, plutôt qu’assombrie par un mental confus et pétri de peurs.
J’observe avec une bonne dose d'humour, de vigilance et de discernement les pensées parmi les plus ordinaires qui me traversent et je choisis délibérément de les laisser m’inspirer pour co-créer la réalité du monde - ou non.
Je choisis de mettre mon mental au service de la Lumière du Cœur.
C’est ce que fait déjà une grosse part de la population humaine partout sur terre, et je peux décider de soutenir ce mouvement en y participant au quotidien à mon niveau.
Une goutte d’eau dans la mer ? Je me rappelle la foi engagée du colibri dans le rôle de pompier des forêts. Qu’ai-je de plus ou de mieux que le Colibri, pour me dispenser d’un tel engagement ?
Au-delà de l'illusion de la dualité et des différences passagères qui en découlent, je choisis de m'ouvrir à l'Unité du vivant, de donner Ici et Maintenant une chance supplémentaire à sa pleine manifestation sur terre, à travers l’espace d’énergie qui dit « je » suis.
Ici et maintenant, je me reconnecte encore et encore au vivant et à la manifestation dans sa globalité :
humains, insectes, oiseaux, animaux, arbres, océans, montagnes et rivières, planète entière, univers.
A travers chaque rencontre réelle, virtuelle ou imaginaire, avec un, une ou plusieurs
représentant(e) de ces différentes manifestations, je me souviens encore et encore, de l'Unité du vivant, je remercie de ce qu'elle m'apporte ; et je me souviens encore et encore de la réalité plus vaste dont « je » fais partie.
Je fais le vœu par la visualisation et la méditation que chaque Autre, que tous les Autres, bénéficient de ce à quoi j'aspire profondément : faire l’expérience consciente de l’Amour, de la Paix, d’une énergie positive et rayonnante, d’une vie de partage sur une planète magnifique… Ces options sont potentiellement mises à la disposition de chaque être vivant. Qui choisit, ou non, de les activer par sa présence consciente pour qu’elles se manifestent.
Chaque moment de la journée, chaque rencontre, chaque mise en présence d'inconnus dans un lieu public, chaque voyage intérieur du mental est une occasion de s'adonner à ce sport gratuit et sans aucun risque qu'est la visualisation co-créatrice et consciente.
Et tout ça pour quoi faire ?
Pour honorer l'Être, la Vie, la Planète, l’Univers.
Pour exprimer par la conscience profonde et l'interconnexion active, ma gratitude d'être vivante, Ici et Maintenant.
Faire mine de l’ignorer, quand la conjugaison des multiples "seuils limites" - écologiques, économiques, sociaux - met la civilisation face à un échéancier implacable, est le moyen le plus rapide d'auto-réaliser collectivement les catastrophes annoncées.
Surtout si, encouragés par les médias, nous nous focalisons collectivement sur le sujet de manière tout aussi quotidienne que trop souvent alarmiste, vindicative ou morbide. Alors qu'est-ce qu'on fait ?
Nier ou ignorer des faits aussi têtus qu'accablants ne ferait que les renforcer.
Donc je m'abstiens.
Feindre d’ignorer les sentiments que ces faits activent en moi me priverait de toute capacité d’agir en conscience et en responsabilité à mon niveau.
Encore une fois, je m'abstiens.
En fait ces sentiments ne sont qu’un des multiples aspects résultant de l’illusion tenace
dans laquelle nous sommes pris, faute d’oser définitivement vivre l’aventure de l’ouverture du Cœur à une réalité plus vaste que celle autorisée par notre ego.
En effet, quand l'angoisse me prend, que le coup de blues s'installe, que la colère et l’indignation font leur show, que la peur m'endort ou me paralyse, la seule réponse possible est-il d'y succomber ? Très tentant pour le repos et le confort… mais à long terme ?
Mon intime conviction me fait entrevoir Ici et Maintenant d'autres perspectives possibles et autrement plus inspirantes pour le Cœur et l’Esprit.
Plutôt que de manquer de foi dans la force de mon Esprit, je fais donc le pari de continuer à visualiser le monde
où
l'humanité entière s’épanouit quand elle se donne vraiment les moyens
de créer la civilisation suggérée par les déclarations fédérant les plus
nobles de ses intentions :
droits de l’homme, des femmes, des enfants, des peuples, de la terre, des animaux, droit à la santé, à l’éducation, à la différence, à la justice, droit à la liberté fondamentale de penser, circuler, aimer à sa guise, protection des plus vulnérables, abolition de la misère, de la peine de mort…
Et si Ici et Maintenant chacun de nous manifestait l’énergie du Cœur ?
Et si Ici et Maintenant chacun de nous réduisait la place accordée à celle de l’ego ?
J'ai le privilège avec beaucoup d'entre vous heureusement, même si nous formons une toute petite minorité, de vivre à l'abri de l’état de survivance minimale ou d’extrême insécurité réservé par nos choix collectifs à l'immense majorité de la population mondiale.
Tout en me livrant à mes activités les plus ordinaires, j'ai donc aussi la chance de bénéficier d’une marge de manœuvre suffisamment confortable pour m’adonner activement à la manifestation d’une conscience éclairée par le Cœur, plutôt qu’assombrie par un mental confus et pétri de peurs.
J’observe avec une bonne dose d'humour, de vigilance et de discernement les pensées parmi les plus ordinaires qui me traversent et je choisis délibérément de les laisser m’inspirer pour co-créer la réalité du monde - ou non.
Je choisis de mettre mon mental au service de la Lumière du Cœur.
C’est ce que fait déjà une grosse part de la population humaine partout sur terre, et je peux décider de soutenir ce mouvement en y participant au quotidien à mon niveau.
Une goutte d’eau dans la mer ? Je me rappelle la foi engagée du colibri dans le rôle de pompier des forêts. Qu’ai-je de plus ou de mieux que le Colibri, pour me dispenser d’un tel engagement ?
Au-delà de l'illusion de la dualité et des différences passagères qui en découlent, je choisis de m'ouvrir à l'Unité du vivant, de donner Ici et Maintenant une chance supplémentaire à sa pleine manifestation sur terre, à travers l’espace d’énergie qui dit « je » suis.
Ici et maintenant, je me reconnecte encore et encore au vivant et à la manifestation dans sa globalité :
humains, insectes, oiseaux, animaux, arbres, océans, montagnes et rivières, planète entière, univers.
A travers chaque rencontre réelle, virtuelle ou imaginaire, avec un, une ou plusieurs
représentant(e) de ces différentes manifestations, je me souviens encore et encore, de l'Unité du vivant, je remercie de ce qu'elle m'apporte ; et je me souviens encore et encore de la réalité plus vaste dont « je » fais partie.
Je fais le vœu par la visualisation et la méditation que chaque Autre, que tous les Autres, bénéficient de ce à quoi j'aspire profondément : faire l’expérience consciente de l’Amour, de la Paix, d’une énergie positive et rayonnante, d’une vie de partage sur une planète magnifique… Ces options sont potentiellement mises à la disposition de chaque être vivant. Qui choisit, ou non, de les activer par sa présence consciente pour qu’elles se manifestent.
Chaque moment de la journée, chaque rencontre, chaque mise en présence d'inconnus dans un lieu public, chaque voyage intérieur du mental est une occasion de s'adonner à ce sport gratuit et sans aucun risque qu'est la visualisation co-créatrice et consciente.
Et tout ça pour quoi faire ?
Pour honorer l'Être, la Vie, la Planète, l’Univers.
Pour exprimer par la conscience profonde et l'interconnexion active, ma gratitude d'être vivante, Ici et Maintenant.
Tuesday, June 2, 2015
Imagination
Imaginer et ressentir… nous connecte au réel, à l’Univers vibrant de Vie.
Cette 1° étape de la co-création active et consciente au quotidien est d’autant plus puissante que nous en multiplions la répétition en l’imprégnant de toute notre présence, en y mettant du cœur.
Sincérité joyeuse du cœur et curiosité sans bornes de l’esprit,
nous font bénéficier à plein de l’exploration intérieure, des découvertes imprévisibles qui nous viennent par la répétition du voyage imaginaire. Ces prises de conscience, de nous-mêmes et de la réalité de la Vie, sont la trame essentielle du processus de co-création et la conséquence directe des choix que nous faisons tel un metteur en scène.
Alors, au-delà du mental, j’imagine, je visualise et je ressens l’énergie qui donne cohésion à la matière même de l’Univers.
Même si le mental participe presque inévitablement au départ de toute mise en œuvre intentionnelle, je m’abandonne progressivement au flux des images et des résonances énergétiques qu’elles éveillent en moi.
Ressentir...
J’imagine cette énergie présente de tous temps, hors du temps, telle une immense vague toute en couleurs, en sons, en lumière...
Ressentir...
J'imagine un vide* sans forme et silencieux où règne un équilibre parfait ; un espace de vacuité qui se trouve à l’arrêt dans une immobilité complète. Un vide qui se retrouve au cœur de toutes les formes manifestées et qui les interconnecte les unes aux autres.
Ressentir…
J’imagine la vague d’énergie jaillissant par une fabuleuse explosion de puissance du vide.
Elle contient l’intégralité de la matière de l’Univers et l’intégralité de la conscience d’être, exprimée par l’infinité de formes manifestées dont chacun d’entre nous fait partie.
Ressentir…
J’imagine l’infinité des formes manifestées vivantes, interconnectées par le vide qui prend ainsi conscience de lui-même.
J’imagine chaque point de lumière au cœur de la vague d’énergie, aussi important que n’importe quel autre.
J’imagine chaque vie absolument parfaite telle qu'elle est, et de valeur égale à toute autre.
Ressentir…
J’imagine que rien n’est donné une fois pour toutes, que tout est possible à tout instant, ici et maintenant.
J’imagine que chaque vie cache en son cœur la possibilité de prendre conscience d’elle-même en se recréant à chaque instant.
Ressentir…
J’imagine que je me libère de la vision linéaire et réductrice de ce que je crois être ou des expériences que je me crois capables de faire.
Je change de point de vue. Ma perception s’élargit. Mon champ de conscience s’élargit. Sa vibration s’amplifie.
Ressentir…
Au-delà de l’être limité à ses mémoires que je crois être, j’ai accès à tous les espaces de conscience existants, y compris jusqu’au cœur du silence originel porteur de tous les possibles.
Par un simple changement de « focus », je choisis de dépasser les limites qui me sont nécessaires pour vivre dans le monde de la matière.
Ressentir…
Ici et maintenant, je laisse tomber mes vieux oripeaux.
Je ressens l’énergie de lumière vivante, vibrante d’Amour et de Paix dont je suis faite.
Et je ressens le Cœur répondre par la Joie à cet élan de manifestation consciente.
Silence. Gratitude.
Ressentir…
* C'est l'idée que je me fais du vide tel qu'il est conçu par le taoïsme : "état suprême de l'origine et élément central de toute manifestation, le vide est comme un potentiel en attente de réalisation".
Cette 1° étape de la co-création active et consciente au quotidien est d’autant plus puissante que nous en multiplions la répétition en l’imprégnant de toute notre présence, en y mettant du cœur.
Sincérité joyeuse du cœur et curiosité sans bornes de l’esprit,
nous font bénéficier à plein de l’exploration intérieure, des découvertes imprévisibles qui nous viennent par la répétition du voyage imaginaire. Ces prises de conscience, de nous-mêmes et de la réalité de la Vie, sont la trame essentielle du processus de co-création et la conséquence directe des choix que nous faisons tel un metteur en scène.
Alors, au-delà du mental, j’imagine, je visualise et je ressens l’énergie qui donne cohésion à la matière même de l’Univers.
Même si le mental participe presque inévitablement au départ de toute mise en œuvre intentionnelle, je m’abandonne progressivement au flux des images et des résonances énergétiques qu’elles éveillent en moi.
Ressentir...
...une vague également en mouvement dans un vide total, porteur et informé de toutes les potentialités de la conscience.
Ressentir...
J'imagine un vide* sans forme et silencieux où règne un équilibre parfait ; un espace de vacuité qui se trouve à l’arrêt dans une immobilité complète. Un vide qui se retrouve au cœur de toutes les formes manifestées et qui les interconnecte les unes aux autres.
Ressentir…
J’imagine la vague d’énergie jaillissant par une fabuleuse explosion de puissance du vide.
Elle contient l’intégralité de la matière de l’Univers et l’intégralité de la conscience d’être, exprimée par l’infinité de formes manifestées dont chacun d’entre nous fait partie.
Ressentir…
J’imagine l’infinité des formes manifestées vivantes, interconnectées par le vide qui prend ainsi conscience de lui-même.
J’imagine chaque point de lumière au cœur de la vague d’énergie, aussi important que n’importe quel autre.
J’imagine chaque vie absolument parfaite telle qu'elle est, et de valeur égale à toute autre.
Ressentir…
J’imagine que rien n’est donné une fois pour toutes, que tout est possible à tout instant, ici et maintenant.
J’imagine que chaque vie cache en son cœur la possibilité de prendre conscience d’elle-même en se recréant à chaque instant.
Ressentir…
J’imagine que je me libère de la vision linéaire et réductrice de ce que je crois être ou des expériences que je me crois capables de faire.
Je change de point de vue. Ma perception s’élargit. Mon champ de conscience s’élargit. Sa vibration s’amplifie.
Ressentir…
Au-delà de l’être limité à ses mémoires que je crois être, j’ai accès à tous les espaces de conscience existants, y compris jusqu’au cœur du silence originel porteur de tous les possibles.
Par un simple changement de « focus », je choisis de dépasser les limites qui me sont nécessaires pour vivre dans le monde de la matière.
Ressentir…
Ici et maintenant, je laisse tomber mes vieux oripeaux.
Je ressens l’énergie de lumière vivante, vibrante d’Amour et de Paix dont je suis faite.
Et je ressens le Cœur répondre par la Joie à cet élan de manifestation consciente.
Silence. Gratitude.
Ressentir…
* C'est l'idée que je me fais du vide tel qu'il est conçu par le taoïsme : "état suprême de l'origine et élément central de toute manifestation, le vide est comme un potentiel en attente de réalisation".
Tuesday, May 12, 2015
Être en création
Choisir. Choisir d’Être, ce que je suis. Choisir d’Être, qui je suis vraiment.
En lui-même le fait de choisir émet une information ; sa vibration, confirmée dans le champ du cosmos de manière répétée et certaine, me conduit à vivre l’expérience manifeste au quotidien de la réalité intérieure de l’Être que je suis.
Choisir, c’est comme planter un jardin. Sauf qu’il n’y a pas besoin de travailler, juste être présent.
Présente ? Mais je le suis ! Ici chaque jour de ma vie ! Alors quelle sorte de présence ?
Celle du mental, du petit « moi » existentiel, ou celle de l’Être essentiel, clair et évolué que je suis déjà ?
Comment être présente pour que l’Être se manifeste un peu plus régulièrement dans mes choix, mes pensées, mes actions, mes émotions… dans tout moi quoi ! Et si possible sans que cela prenne encore 10 réincarnations, ou 100 ou 1000, avant d’avoir la joie de vivre cette expérience ?
L’excès de focalisation dans le mental nous fait penser la vie au lieu de la sentir et de la vivre, nous pousse à vouloir faire et manipuler plus qu’à Être et à Aimer ; à vouloir contrôler les évènements ou à leur résister plus qu’à nous laisser guider par eux vers un niveau de conscience plus « évolué »…
Alors, qu’est ce qui empêche cet Être merveilleux que nous sommes de se manifester « ici et maintenant » ?
J’ai pu remarquer dans le processus de co-création, plusieurs éléments très concrets qui font obstacle à la clarté de mes choix d’évolution, donc à leur manifestation concrète sous forme d’expérience vivante de l’Être, maintenant.
Le 1° obstacle est le doute - scepticisme, manque de confiance…
Une partie de moi ne croit pas vraiment ou pas suffisamment, que les choses marchent vraiment comme ça ; c’est-à-dire que je peux réellement co-créer et vivre le plus haut niveau de conscience auquel j’aspire. C’est bien joli comme ça pour se faire plaisir, en discuter avec les amis (les branchés bien sûr... lol...) ; mais quand même pas au point de le vivre, pas dans tout ! Croire au Père Noël c’est bon pour les enfants ! Et encore, de nos jours, quels enfants… ? Et puis aussi, il faut le reconnaître cela conforte mon côté « pauv’petit Calimero perdu sur terre » dans lequel je reste pas mal piégée finalement, à ma façon.
Le 2° obstacle est l’hésitation.
J’hésite sur le choix à faire : un peu comme au supermarché où je peux me perdre dans le dédale des rayons et des multiples critères de mon choix, sans toujours parvenir à me décider de manière satisfaisante c'est-à-dire à ressortir plus épanouie, heureuse de l’expérience et de son résultat.
Côté choix spirituels, c’est pareil ! Tout ça parce que j’aimerais faire le meilleur choix sur la palette : Joie, Amour, Lumière, Paix, Puissance, Connaissance… ? Ouh là là ! « Trop de choix tue le choix » ?
Le 3° obstacle est l’exigence de « garantie avant engagement ».
Courageux ou frileux, conformiste ou pas, nous voulons choisir sans prendre de risque ! Nous voulons des garanties. Être sûrs que le choix fait est le bon, le meilleur, le seul, l’unique pour se rendre à bon port ! Mais demain… peut-être que finalement… en y repensant… en comparant avec le choix du voisin… nous remettrons à plus tard… Le besoin de contrôler encore et toujours, et aussi la peur de s’engager vraiment personnellement.
Le 4° obstacle relève de la confusion intérieure.
Je n’arrive pas à savoir ce qui est vraiment bon pour moi, et je passe du temps à changer d’avis au lieu de choisir. Et de naviguer d’un choix à l’autre, de zapper, sans en vivre aucun en profondeur ! Ça vous parle ? Pendant que je batifole d’une fantaisie à l’autre, que croyez-vous que l’Energie de Vie fasse ? Elle me renvoie l’image en très clair… et en autant d’évènements ainsi attirés dans mon champ d’énergie par mon état de dispersion, de confusion.
Le meilleur n’existe pas dans l’absolu. Seule ce que je suis est !
Les évènements que j’attire à moi par choix ou par absence de choix conscient, parlent sans équivoque de ce que je crois et décide d’être à chaque instant.
Le mental réagit en référence aux évènements antérieurs et stérilise dans l’œuf toute possibilité d’évolution neuve. L’Être crée et vitalise.
Que choisissons-nous Ici et Maintenant d’écouter - individuellement et collectivement ?
Sans attendre je ne sais quel moment à venir plus favorable, plus confortable, plus propice, puis-je être consciente de ce que je choisis à chaque instant ?
Alors, co-création ou réaction ?
Pour enclencher le processus co-créatif, commençons par l’imaginer !
- imaginons ce que deviendrait chaque instant de notre vie si nous manifestions l’Être essentiel que nous sommes
- imaginons le ressenti corporel concret qui se manifesterait en nous ; ce que seraient nos pensées, nos actions
- imaginons que nous laissons le champ de notre conscience libre de gagner en expansion infinie !
Et focalisons avec suffisamment de persévérance et de désir pour que cela se manifeste concrètement.
Ou sinon, par habitude, par frilosité ou manque de courage, par indifférence, ou par absence de motivation profonde ou d’intérêt sincère… nous pouvons continuer aussi à réagir face aux circonstances du moment présent, à nous cantonner à l’intérieur des frontières du terrain de jeu d’un mental prêt à tout pour préserver son influence sur notre vie.
P.S. : traductions des textes sur les images (dans leur ordre d'apparition)
1 : La seule différence entre un obstacle et une pierre de gué réside dans la façon de s'en servir
2 : Trouvez en vous-même ce quelque chose immense auquel aucun obstacle ne résiste
3 : Votre imagination vous présente en avant-première les futures manifestations de votre vie
En lui-même le fait de choisir émet une information ; sa vibration, confirmée dans le champ du cosmos de manière répétée et certaine, me conduit à vivre l’expérience manifeste au quotidien de la réalité intérieure de l’Être que je suis.
Choisir, c’est comme planter un jardin. Sauf qu’il n’y a pas besoin de travailler, juste être présent.
Présente ? Mais je le suis ! Ici chaque jour de ma vie ! Alors quelle sorte de présence ?
Celle du mental, du petit « moi » existentiel, ou celle de l’Être essentiel, clair et évolué que je suis déjà ?
Comment être présente pour que l’Être se manifeste un peu plus régulièrement dans mes choix, mes pensées, mes actions, mes émotions… dans tout moi quoi ! Et si possible sans que cela prenne encore 10 réincarnations, ou 100 ou 1000, avant d’avoir la joie de vivre cette expérience ?
L’excès de focalisation dans le mental nous fait penser la vie au lieu de la sentir et de la vivre, nous pousse à vouloir faire et manipuler plus qu’à Être et à Aimer ; à vouloir contrôler les évènements ou à leur résister plus qu’à nous laisser guider par eux vers un niveau de conscience plus « évolué »…
Alors, qu’est ce qui empêche cet Être merveilleux que nous sommes de se manifester « ici et maintenant » ?
J’ai pu remarquer dans le processus de co-création, plusieurs éléments très concrets qui font obstacle à la clarté de mes choix d’évolution, donc à leur manifestation concrète sous forme d’expérience vivante de l’Être, maintenant.
Le 1° obstacle est le doute - scepticisme, manque de confiance…
Une partie de moi ne croit pas vraiment ou pas suffisamment, que les choses marchent vraiment comme ça ; c’est-à-dire que je peux réellement co-créer et vivre le plus haut niveau de conscience auquel j’aspire. C’est bien joli comme ça pour se faire plaisir, en discuter avec les amis (les branchés bien sûr... lol...) ; mais quand même pas au point de le vivre, pas dans tout ! Croire au Père Noël c’est bon pour les enfants ! Et encore, de nos jours, quels enfants… ? Et puis aussi, il faut le reconnaître cela conforte mon côté « pauv’petit Calimero perdu sur terre » dans lequel je reste pas mal piégée finalement, à ma façon.
Le 2° obstacle est l’hésitation.
J’hésite sur le choix à faire : un peu comme au supermarché où je peux me perdre dans le dédale des rayons et des multiples critères de mon choix, sans toujours parvenir à me décider de manière satisfaisante c'est-à-dire à ressortir plus épanouie, heureuse de l’expérience et de son résultat.
Côté choix spirituels, c’est pareil ! Tout ça parce que j’aimerais faire le meilleur choix sur la palette : Joie, Amour, Lumière, Paix, Puissance, Connaissance… ? Ouh là là ! « Trop de choix tue le choix » ?
Le 3° obstacle est l’exigence de « garantie avant engagement ».
Courageux ou frileux, conformiste ou pas, nous voulons choisir sans prendre de risque ! Nous voulons des garanties. Être sûrs que le choix fait est le bon, le meilleur, le seul, l’unique pour se rendre à bon port ! Mais demain… peut-être que finalement… en y repensant… en comparant avec le choix du voisin… nous remettrons à plus tard… Le besoin de contrôler encore et toujours, et aussi la peur de s’engager vraiment personnellement.
Le 4° obstacle relève de la confusion intérieure.
Je n’arrive pas à savoir ce qui est vraiment bon pour moi, et je passe du temps à changer d’avis au lieu de choisir. Et de naviguer d’un choix à l’autre, de zapper, sans en vivre aucun en profondeur ! Ça vous parle ? Pendant que je batifole d’une fantaisie à l’autre, que croyez-vous que l’Energie de Vie fasse ? Elle me renvoie l’image en très clair… et en autant d’évènements ainsi attirés dans mon champ d’énergie par mon état de dispersion, de confusion.
Le meilleur n’existe pas dans l’absolu. Seule ce que je suis est !
Les évènements que j’attire à moi par choix ou par absence de choix conscient, parlent sans équivoque de ce que je crois et décide d’être à chaque instant.
Le mental réagit en référence aux évènements antérieurs et stérilise dans l’œuf toute possibilité d’évolution neuve. L’Être crée et vitalise.
Que choisissons-nous Ici et Maintenant d’écouter - individuellement et collectivement ?
Sans attendre je ne sais quel moment à venir plus favorable, plus confortable, plus propice, puis-je être consciente de ce que je choisis à chaque instant ?
Alors, co-création ou réaction ?
Pour enclencher le processus co-créatif, commençons par l’imaginer !
- imaginons ce que deviendrait chaque instant de notre vie si nous manifestions l’Être essentiel que nous sommes
- imaginons le ressenti corporel concret qui se manifesterait en nous ; ce que seraient nos pensées, nos actions
- imaginons que nous laissons le champ de notre conscience libre de gagner en expansion infinie !
Et focalisons avec suffisamment de persévérance et de désir pour que cela se manifeste concrètement.
Ou sinon, par habitude, par frilosité ou manque de courage, par indifférence, ou par absence de motivation profonde ou d’intérêt sincère… nous pouvons continuer aussi à réagir face aux circonstances du moment présent, à nous cantonner à l’intérieur des frontières du terrain de jeu d’un mental prêt à tout pour préserver son influence sur notre vie.
M’engager individuellement pour contribuer à l’évolution positive de l’Humanité ?
C’est un choix possible, dont je viendrai reparler ici très bientôt ;-)
P.S. : traductions des textes sur les images (dans leur ordre d'apparition)
1 : La seule différence entre un obstacle et une pierre de gué réside dans la façon de s'en servir
2 : Trouvez en vous-même ce quelque chose immense auquel aucun obstacle ne résiste
3 : Votre imagination vous présente en avant-première les futures manifestations de votre vie
Saturday, May 2, 2015
To be or not to be ?
Et qu’est-ce qui se passe dans les moments critiques ? Du genre ? Quand nous nous mettons en colère par exemple ;-)
Quand les évènements viennent comme un chien dans le jeu de quilles semer la pagaille, tout mettre en l’air dans les apparences d’un bonheur presque ou plus que parfait ?
Quand le défi intérieur est suffisamment important pour nous déstabiliser pendant … quelques heures… quelques jours… quelques semaines ?
Quand notre vie quotidienne semble s’empêtrer dans une confusion, une souffrance qui nous empêchent de percevoir et manifester en nous toute la beauté de la Vie, imperturbable elle et « qui continue » bien sûr !
Un tel défi nous indique certainement que des blessures anciennes, des mémoires, des habitudes comportementales ou réactionnelles figées et bien ancrées en nous sont réactivées et que nous les laissons nous blesser à nouveau : « nous sommes de mauvaise humeur », « nous nous laissons emporter », « nos paroles dépassent nos pensées », « nous ne sommes plus vraiment nous »...
L’idée - l'idéal ? - serait de pouvoir alors accueillir ces phénomènes pour ce qu’ils sont : des perches tendues par la Vie pour nous aider à grandir, des coups de pied au derrière pour nous empêcher de croire aux fables que nous nous racontons, d'être trop certains d’avoir accompli quelque progrès, de nous croire en chemin vers la réalisation.
Sauf que... il n’y a pas de progrès à faire, pas de chemin à parcourir, que tout est déjà là en même temps ici et maintenant et dans tous les espaces-temps.
Alors qu’est-ce qu’on fait ? Quand la colère est si présente que nous devenons colère.
Devons-nous accorder du crédit aux pensées qui nous traversent dans ces moments-là ? Tout ce qui se raconte dans notre tête est-il vraiment vrai ? Pourquoi le serait-il plus que d’habitude ?
La tête est le siège de l’Ego, qui aime tant faire le show, comme nous pourrions le constater facilement à chaque instant si nous le souhaitions ; mais nous croyons à son cinéma dur comme fer et c’est ainsi que nous créons le monde dans lequel nous vivons chaque jour.
Pourtant avec un peu de recul nous pourrions voir à quel point malgré le sérieux qui nous caractérise, nous sommes comiques et - parfois tristement - à force de mettre tant d’énergie dans une parfaite illusion.
Sommes-nous encore Lumière, Paix, quelque part en dedans ? Mais où sont donc passées la Lumière et la Paix chéries ? On verra plus tard, là maintenant, nous sommes en colère et ça c’est la seule chose qui compte parce que ça, c’est réel ! Ah oui ? Lumière et paix ne sont-elles pas nos priorités ? En général oui, mais pas maintenant ! Ah bon ?
Même si nous ne les sentons plus, arrêtons-nous et faisons comme si !
Juste un instant, juste pour le jeu.
Et mettons-nous à l’écoute des réactions du corps ;
de ses résistances, crispations, ouvertures...
Quand l’habitude nous piège, dans les cris ou les larmes - adieu silence, adieu sourires ; dans le rejet - adieu ouverture et confiance ; dans le blâme ou le jugement - adieu bienveillance et pardon :
que choisissons-nous ?
La liberté ou l’esclavage ? Dans quel espace sommes-nous installés ? Dans la réalité de l’instant présent ici et maintenant, ou dans l’illusion d’un passé, créateur d’un futur tout aussi pénible à vivre ?
Pouvons-nous voir ce qui se passe en nous dans cet instant sans nous prendre au sérieux, donc sans nous justifier, nous juger, nous en vouloir, nous énerver encore un peu, rajouter une dose de pensées et réactions qui nous font souffrir ?
Pouvons-nous prendre de la distance avec le jeu de l’acteur, pour venir nous asseoir tranquillement dans le siège du spectateur et apprécier la pièce à sa juste valeur ?
Pouvons-nous sentir que ce simple pas de recul enclenche en nous un mouvement énergétique libérateur d’ouverture : les mots arrêtés, l’oppression respiratoire s’estompe, la cage thoracique retrouve une dynamique plus saine, les tensions et crispations du corps se dénouent.
Un courant frais parcourt le corps et le régénère dans l’instant.
Pouvons-nous enfin demander l’aide de la Vie pour nous accorder à sa vibration créatrice ?
Et sentir ces mêmes bienfaits s’amplifier dans l’instant même ?
L’impossibilité à vivre cela, serait-elle le simple résultat des choix dont nous nous privons dans le moment présent ? Plutôt qu'une donnée incontournable, inévitable, à laquelle nous nous agrippons comme un noyé minuscule dans l’océan de sa confusion intérieure et prêt à s’en venger sur le premier venu ?
Pouvons-nous reconnaître qu’en prenant un peu de distance, nous grandissons en force de présence, en conscience et peut-être même en capacité à exprimer la colère de manière authentique et constructive, au lieu de nous obstiner à jouer à perte le rôle d'un caisson de résonance pour ces énergies anciennes qui obéissent aux exigences de notre ego ?
Et si nous choisissions d’activer les options "présence", "liberté", malgré toute la difficulté que cela peut représenter dans l’instant. Nous pourrions choisir de redevenir partenaire de la Vie, sans ennemi ni intérieur ni extérieur à combattre, d'être l'Être en création que nous sommes essentiellement et qui est lui, bénéficiaire d’énergies si vastes que rien ne lui est impossible.
Une expérience à tenter… encore et encore… jusqu’à nous remplir de gratitude pour cette colère qui nous aide à grandir ; cette colère, qui de cauchemar ou poison, est alors devenue support parmi d'autres, de notre re-création intérieure.
Quand les évènements viennent comme un chien dans le jeu de quilles semer la pagaille, tout mettre en l’air dans les apparences d’un bonheur presque ou plus que parfait ?
Quand le défi intérieur est suffisamment important pour nous déstabiliser pendant … quelques heures… quelques jours… quelques semaines ?
Quand notre vie quotidienne semble s’empêtrer dans une confusion, une souffrance qui nous empêchent de percevoir et manifester en nous toute la beauté de la Vie, imperturbable elle et « qui continue » bien sûr !
Un tel défi nous indique certainement que des blessures anciennes, des mémoires, des habitudes comportementales ou réactionnelles figées et bien ancrées en nous sont réactivées et que nous les laissons nous blesser à nouveau : « nous sommes de mauvaise humeur », « nous nous laissons emporter », « nos paroles dépassent nos pensées », « nous ne sommes plus vraiment nous »...
L’idée - l'idéal ? - serait de pouvoir alors accueillir ces phénomènes pour ce qu’ils sont : des perches tendues par la Vie pour nous aider à grandir, des coups de pied au derrière pour nous empêcher de croire aux fables que nous nous racontons, d'être trop certains d’avoir accompli quelque progrès, de nous croire en chemin vers la réalisation.
Sauf que... il n’y a pas de progrès à faire, pas de chemin à parcourir, que tout est déjà là en même temps ici et maintenant et dans tous les espaces-temps.
Alors qu’est-ce qu’on fait ? Quand la colère est si présente que nous devenons colère.
Devons-nous accorder du crédit aux pensées qui nous traversent dans ces moments-là ? Tout ce qui se raconte dans notre tête est-il vraiment vrai ? Pourquoi le serait-il plus que d’habitude ?
La tête est le siège de l’Ego, qui aime tant faire le show, comme nous pourrions le constater facilement à chaque instant si nous le souhaitions ; mais nous croyons à son cinéma dur comme fer et c’est ainsi que nous créons le monde dans lequel nous vivons chaque jour.
Pourtant avec un peu de recul nous pourrions voir à quel point malgré le sérieux qui nous caractérise, nous sommes comiques et - parfois tristement - à force de mettre tant d’énergie dans une parfaite illusion.
Sommes-nous encore Lumière, Paix, quelque part en dedans ? Mais où sont donc passées la Lumière et la Paix chéries ? On verra plus tard, là maintenant, nous sommes en colère et ça c’est la seule chose qui compte parce que ça, c’est réel ! Ah oui ? Lumière et paix ne sont-elles pas nos priorités ? En général oui, mais pas maintenant ! Ah bon ?
Même si nous ne les sentons plus, arrêtons-nous et faisons comme si !
Juste un instant, juste pour le jeu.
Et mettons-nous à l’écoute des réactions du corps ;
de ses résistances, crispations, ouvertures...
Quand l’habitude nous piège, dans les cris ou les larmes - adieu silence, adieu sourires ; dans le rejet - adieu ouverture et confiance ; dans le blâme ou le jugement - adieu bienveillance et pardon :
que choisissons-nous ?
La liberté ou l’esclavage ? Dans quel espace sommes-nous installés ? Dans la réalité de l’instant présent ici et maintenant, ou dans l’illusion d’un passé, créateur d’un futur tout aussi pénible à vivre ?
Pouvons-nous voir ce qui se passe en nous dans cet instant sans nous prendre au sérieux, donc sans nous justifier, nous juger, nous en vouloir, nous énerver encore un peu, rajouter une dose de pensées et réactions qui nous font souffrir ?
Pouvons-nous prendre de la distance avec le jeu de l’acteur, pour venir nous asseoir tranquillement dans le siège du spectateur et apprécier la pièce à sa juste valeur ?
Pouvons-nous sentir que ce simple pas de recul enclenche en nous un mouvement énergétique libérateur d’ouverture : les mots arrêtés, l’oppression respiratoire s’estompe, la cage thoracique retrouve une dynamique plus saine, les tensions et crispations du corps se dénouent.
Un courant frais parcourt le corps et le régénère dans l’instant.
Pouvons-nous enfin demander l’aide de la Vie pour nous accorder à sa vibration créatrice ?
Et sentir ces mêmes bienfaits s’amplifier dans l’instant même ?
L’impossibilité à vivre cela, serait-elle le simple résultat des choix dont nous nous privons dans le moment présent ? Plutôt qu'une donnée incontournable, inévitable, à laquelle nous nous agrippons comme un noyé minuscule dans l’océan de sa confusion intérieure et prêt à s’en venger sur le premier venu ?
Pouvons-nous reconnaître qu’en prenant un peu de distance, nous grandissons en force de présence, en conscience et peut-être même en capacité à exprimer la colère de manière authentique et constructive, au lieu de nous obstiner à jouer à perte le rôle d'un caisson de résonance pour ces énergies anciennes qui obéissent aux exigences de notre ego ?
Et si nous choisissions d’activer les options "présence", "liberté", malgré toute la difficulté que cela peut représenter dans l’instant. Nous pourrions choisir de redevenir partenaire de la Vie, sans ennemi ni intérieur ni extérieur à combattre, d'être l'Être en création que nous sommes essentiellement et qui est lui, bénéficiaire d’énergies si vastes que rien ne lui est impossible.
Une expérience à tenter… encore et encore… jusqu’à nous remplir de gratitude pour cette colère qui nous aide à grandir ; cette colère, qui de cauchemar ou poison, est alors devenue support parmi d'autres, de notre re-création intérieure.
Thursday, April 30, 2015
Monday, April 27, 2015
Wednesday, April 15, 2015
Au coeur du Qi Gong
Le désir
profond et sincère de découvrir, le choix actif qui consiste à
désactiver l’option « ennui et compagnie » dans notre paysage intérieur,
sont 2 des éléments de la possibilité de nous recréer de jour en jour
même à travers les activités les plus quotidiennes, ou les plus
routinières... en apparence.
Ayons confiance dans le fait que la possibilité de faire ce choix pour les Humains que nous sommes existe déjà à l’état d’information conceptuelle dans l’Univers et sous forme manifestée sur Terre. Nul besoin de l’inventer ! Nous avons juste à nous y connecter activement par l’intention consciente du Cœur. Puis à la laisser vivre de manière créative dans notre quotidien, pour le plus grand plaisir de l’Univers et le plaisir de notre Être, qui d’ailleurs sont une seule et même chose.
Un exemple concret : un exercice de base du Qi Gong qui est destiné à harmoniser la respiration.
Allez, une petite vidéo très courte qui sera plus parlante que des dizaines de mots alignés sur la page !
Pendant longtemps, j'ai pratiqué cet exercice que pourtant je « ne sentais pas » ! « Il ne me parlait pas » ! J’avais beau savoir que le mouvement vient du Hara, et non pas des bras, rien ne se passait digne d’intérêt. Mon assiduité s’est finalement relâchée. Je l’ai laissé de côté.
Et un beau jour, j’y suis revenue… histoire de voir… Bien m’en a pris, car là… cadeau !
Mon Hara était aux commandes sans se faire prier et quelque chose de l’essence de l’exercice s’est révélé. Bonheur ! Le Centre m’a montré le chemin - un chemin parmi d'autres ? - pour qu’en faisant cet exercice, l’énergie circule effectivement en moi selon un mouvement intérieur initié par le mouvement extérieur du corps. Puis, l’œuf et la poule, on ne sait plus qui guide qui, intérieur et extérieur ne font qu’un.
Cesser de pratiquer ce mouvement pour un temps, avait permis au corps de finalement s’approprier l’information « le mouvement vient du Hara ».
Il se trouve que depuis quelque temps j’émets très régulièrement l’intention « d’être sphère », de me sentir sphère, une micro-sphère parmi l’infinité des sphères planétaires de l’Univers. Je m’amuse bien ! Tout cela pour ressentir dans tout mon Être la vibration d’une sphère, symbole de perfection de la forme, du tout, de l’Unité.
La conjonction des 2 intentions actives et conscientes- « me sentir sphère » et « Hara, centre du mouvement » m’a permis ce jour-là de sentir une sphère centrée sur le Hara, vivre dans tout mon corps en mouvement.
Le mouvement des bras m’a alors fait sentir la ligne courbe qui est inscrite dans le symbole sphérique du Tao.
Grâce à cette sphère intérieure, j’ai alors effectivement perçu l’Unité de tout le corps, le mouvement né du Hara, présent partout dans le corps à chaque instant.
Les bras ne se déplacent pas, ni les genoux ne se fléchissent avant de se déplier à nouveau. Tout se produit en même temps. Le corps est comme habité, mû, par un mouvement de souffle intérieur qui le remplit (bras vers l’horizontale, genoux dépliés) et le vide (bras ramenés vers le Hara, genoux pliés).
La sphère que je visualise avant de pratiquer le Qi Gong est aussi lumineuse, subtile et légère qu’une bulle de savon. Et aussi connectée à la sphère de la planète Terre dans laquelle je m’ancre en profondeur.
Ces précisions pour illustrer le fait que notre imagination est fondamentalement un moyen d’exercer notre capacité à co-créer, à nous recréer.
A nous de nous en servir et l’ennui sera aux abonnés absents pour quelque temps. L’ennui qui bien souvent se traduit par un besoin compulsif à nous distraire, nous stimuler par tous les moyens possibles pour nous sentir un peu plus vivants.
nous offrent ainsi des découvertes très intéressantes,
même après les avoir déjà pratiqués je ne sais combien de dizaines ou centaines de fois depuis des années.
En fait c’est une question de choix
à chaque nouvelle séance de Qi Gong :
la question en jeu n’est pas tant de savoir "qui suis-je ?..." mais de choisir "ce que je suis".
Ayons confiance dans le fait que la possibilité de faire ce choix pour les Humains que nous sommes existe déjà à l’état d’information conceptuelle dans l’Univers et sous forme manifestée sur Terre. Nul besoin de l’inventer ! Nous avons juste à nous y connecter activement par l’intention consciente du Cœur. Puis à la laisser vivre de manière créative dans notre quotidien, pour le plus grand plaisir de l’Univers et le plaisir de notre Être, qui d’ailleurs sont une seule et même chose.
Un exemple concret : un exercice de base du Qi Gong qui est destiné à harmoniser la respiration.
Allez, une petite vidéo très courte qui sera plus parlante que des dizaines de mots alignés sur la page !
Pendant longtemps, j'ai pratiqué cet exercice que pourtant je « ne sentais pas » ! « Il ne me parlait pas » ! J’avais beau savoir que le mouvement vient du Hara, et non pas des bras, rien ne se passait digne d’intérêt. Mon assiduité s’est finalement relâchée. Je l’ai laissé de côté.
Et un beau jour, j’y suis revenue… histoire de voir… Bien m’en a pris, car là… cadeau !
Mon Hara était aux commandes sans se faire prier et quelque chose de l’essence de l’exercice s’est révélé. Bonheur ! Le Centre m’a montré le chemin - un chemin parmi d'autres ? - pour qu’en faisant cet exercice, l’énergie circule effectivement en moi selon un mouvement intérieur initié par le mouvement extérieur du corps. Puis, l’œuf et la poule, on ne sait plus qui guide qui, intérieur et extérieur ne font qu’un.
Cesser de pratiquer ce mouvement pour un temps, avait permis au corps de finalement s’approprier l’information « le mouvement vient du Hara ».
Il se trouve que depuis quelque temps j’émets très régulièrement l’intention « d’être sphère », de me sentir sphère, une micro-sphère parmi l’infinité des sphères planétaires de l’Univers. Je m’amuse bien ! Tout cela pour ressentir dans tout mon Être la vibration d’une sphère, symbole de perfection de la forme, du tout, de l’Unité.
La conjonction des 2 intentions actives et conscientes- « me sentir sphère » et « Hara, centre du mouvement » m’a permis ce jour-là de sentir une sphère centrée sur le Hara, vivre dans tout mon corps en mouvement.
Le mouvement des bras m’a alors fait sentir la ligne courbe qui est inscrite dans le symbole sphérique du Tao.
Grâce à cette sphère intérieure, j’ai alors effectivement perçu l’Unité de tout le corps, le mouvement né du Hara, présent partout dans le corps à chaque instant.
Les bras ne se déplacent pas, ni les genoux ne se fléchissent avant de se déplier à nouveau. Tout se produit en même temps. Le corps est comme habité, mû, par un mouvement de souffle intérieur qui le remplit (bras vers l’horizontale, genoux dépliés) et le vide (bras ramenés vers le Hara, genoux pliés).
La sphère que je visualise avant de pratiquer le Qi Gong est aussi lumineuse, subtile et légère qu’une bulle de savon. Et aussi connectée à la sphère de la planète Terre dans laquelle je m’ancre en profondeur.
Ces précisions pour illustrer le fait que notre imagination est fondamentalement un moyen d’exercer notre capacité à co-créer, à nous recréer.
A nous de nous en servir et l’ennui sera aux abonnés absents pour quelque temps. L’ennui qui bien souvent se traduit par un besoin compulsif à nous distraire, nous stimuler par tous les moyens possibles pour nous sentir un peu plus vivants.
La sphère est un artefact
parmi d’autres, qui active en nous,
l'essentiellement vivant, connecté à la Vie qui crée à chaque instant.
parmi d’autres, qui active en nous,
l'essentiellement vivant, connecté à la Vie qui crée à chaque instant.
Ouvrir notre Cœur, servir la Vie
et nous y connecter
et nous y connecter
est possible de 1001 manières...
... à chacun de choisir
celle-s qui lui parlent le plus !
Monday, April 13, 2015
Stress Relief Using Acupressure - How to apply effective pressure?
Reduce Stress and Worry Now! http://tinyurl.com/reduce-stress-and-worry
How to apply effective pressures onto the energy points? If there was only one thing to remember it would be: make sure to be comfortable in what you are doing! Enjoying yourself, is the condition to fully benefit from your practice, because you will be regular at it without any effort.
Aside from that, moderation is a key word at all levels concerning the intensity of your practice. For a completely balancing and satisfying long term effect, apply the pressures, whether on yourself or on someone else, in a wholly relaxed way:
* Body: free from muscular tensions
* Breathing: deep abdominal and natural
* Mental: turned away from your daily thoughts or concerns
* Mind: present, open, kind and gently focused
A better way is to let yourself be guided by your inner feelings at each moment, here and now, and adjust your practice accordingly! The duration and intensity of each pressure or session are completely up to your feelings. With a minimum training you will be confident enough to follow your feelings and receive the maximum benefits!
Acupressure side effects are reduced to a minimum by respecting the elementary common sense:
* avoid treating yourself or anyone else when you are too tired or ill
* avoid treating areas suffering from severe pains or inflammations, wounds or bruises
* avoid treating the stomach area right after a rich meal Enjoy your practice!
Sunday, April 5, 2015
Ici et maintenant : l'Unité du Tao
est-elle aussi banale qu’on pourrait le croire ?
ou y a t’il quelque chose caché dedans ?
un trésor peut-être ?
L'activité mentale,
désordonnée, confuse, tumultueuse qui nous habite peut-elle être apaisée, dépassée, neutralisée ou...
quand nous nous connectons à la Vie Ici et maintenant ?
Récemment, j'ai commencé à la laisser vibrer en moi… et … pour l’expérience que j’en reçois, le jeu en vaut la chandelle !
Pour moi, l’action de méditer commence par un simple « oui ». Ici et maintenant ? oui !
Je m’ouvre intérieurement à cette énergie pour en faire l’expérience vivante.
Ici et maintenant je marche dans la rue, sous le soleil et je viens d’avoir une pensée de peur - celle de perdre un être très cher à mon cœur, une pensée parmi les plus banales donc ! Nourrie par les mémoires de pertes antérieures, par la peur du lendemain, de l’inconnu, par … Peu importe quoi finalement !
J’applique un contre-poison immédiat en émettant une pensée positive : "l’Amour remplace la peur, Ici et maintenant". Ecoute du ressenti intérieur.
La rumeur de la rue est une toile de fond énergétique à mon exploration intérieure. L’intérieur et l’extérieur se fondent l’un en l’autre.
Marcher. Respirer. Inspirer l’Amour – Expirer la peur. Ecouter en dedans.
Le sentiment de peur se transforme très rapidement en un « gargouillis » joyeux. C’est super en fait de ressentir ça ! Beaucoup plus rigolo et inspirant que la contraction associée à la peur.
Déplacer le zoom sur « Ici et maintenant », l’autre bout de la pensée positive.
Rue. Soleil. Passants. Rumeurs. Voitures. La pensée de peur m’avait éloignée de l'environnement immédiat.
Au fait, combien de pensées de peurs sont émises Ici et maintenant dans les personnes que je croise à ce moment-là ? et combien de pensées positives ?
Qu’ai-je à mettre en commun avec ces « inconnus » à cet instant ?
La contraction de peur ou le « gargouillis » joyeux ?
Chacun choisit sa façon de contribuer au tableau co-créé
Ici et maintenant tous ensemble.
Tableau vivant en perpétuel
mouvement. C’est fascinant.
Ancrée Ici et maintenant, je me sens faire partie du tout, inter-connectée aux personnes qui sont là, un vrai bonheur !
Peu importe, je continue. Connectée et le cœur ouvert. Je ne nous sens plus étrangers les uns pour les autres. Je ne nous sens plus séparés les uns des autres.
Pour un instant, je vois avec les yeux du 3° œil et non plus avec la vision duelle des 2 yeux. Ici et maintenant, UNITE.
Ici et maintenant : il n’y en a qu’un ! en connectant ce que je crois être « mon Ici et maintenant à moi », je viens de toucher quelque chose auquel je n’avais jamais pensé, quelque chose que je n’avais jamais réalisé avant : il n’y a qu’un Ici et maintenant pour tout le vivant.
Quand je touche Ici et maintenant en moi,
je touche l’Ici et maintenant universel.
je touche l’Unité de la conscience,
où nous sommes ensemble
dans l’Amour... ou dans la peur.
Ici et maintenant n’a aucune limites,
ni spatiales, ni temporelles.
Ici et maintenant la Vie est à l’œuvre. Silence, on crée !
Peut-on encore appeler pensées, ces ondes involontaires qui nous traversent en permanence créant agitation, vacarme, confusion, souffrance, négativité, altérant notre équilibre et notre santé, nous coupant de nos ressources créatrices ?
A partir d’aujourd’hui, je les appelle bruit de fond. Et je réserve le mot « pensée » à l’activité mentale créatrice et inspirée qui nourrit le Cœur et me connecte à la Vie qui crée, Ici et maintenant.
Bonne journée !
Friday, March 20, 2015
Gestion du Stress - Combattre Le Stress et l'Inquiétude - Udemy
Gestion du Stress et l'Inquiétude http://tinyurl.com/gestion-du-stress
Ce cours tous publics est conçu pour faciliter l'accès de la Digipuncture aux novices.
Le cours enseigne comment remédier aux souffrances occasionnées par le Stress ou l'Inquiétude grâce à la Digipuncture. L'approche proposée est plutôt énergétique et méditative que simplement mécanique ou réflexe.
But du cours : développer le ressenti et l'expérience intérieure, plus que le savoir.
Chaque état émotionnel (Stress/Inquiétude) est traité en 3 séries de vidéos (30 minutes environ au total) :
« INTRODUCTION »
« POINTS » : localisation des points
« PRATIQUE » : séance(s) guidée(s) de Digipuncture Méditative
Je démontre les enchaînements complets comme si je répondais à mon propre besoin. Votre pratique est guidée par ma voix.
Un document PDF téléchargeable développe largement la partie théorique.
Apprendre la Digipuncture quand « la vie est belle » ou dans les moments moyennement stressants permet d'anticiper un peu mieux les épisodes futurs de stress plus aigu, de diminuer et de soulager plus efficacement leurs conséquences.
Wednesday, March 18, 2015
Eveil
J’évoque ici la dernière scène d’un film superbe, Still Alice, car j’y ai vu un rapport direct avec le thème de ce blog. Donc si vous voulez aller voir le film, il vaudrait mieux revenir plus tard pour lire cette page !
Alice, alors parvenue à un stade très avancé de la maladie d’Alzheimer est avec Anna, sa fille cadette, âgée d’une vingtaine d’années environ. Anna décrit pour sa mère la « vision » qui lui est venue dans l’avion qui l’emmenait vers elle.
Dans l’espace de vol compris entre les nuages et la couche d’ozone, où tout semble si calme et qu’on appelle tropopause, Anna a vu, perçu, les âmes organisées en un magnifique mandala occupées à « réparer » la couche d’ozone. Le mandala enveloppait, embrassait la planète entière. Les mots de tous les jours sont impuissants à décrire la beauté « extra ordinaire » qui s’en dégageait.
Dans le long silence qui suit, le regard d’Alice est en quête d’un quelque chose dans l’espace. Elle émet de petits « grognements » de plaisir sous le regard « insistant » d’Anna qui veut savoir si « ce qu’elle vient de lui dire lui a plu, et comment ça lui parle ». Grognements. Danse des regards. Visages si proches l’un de l’autre.
De manière inespérée pour le spectateur, les regards finissent par se rencontrer vraiment.
Alice prononce un seul mot : LOVE, suivi d’un sourire apaisé, profond.
LUMIERE blanche, immense. L’Amour est Lumière. Fin du film.
L’Amour du « Mandala des âmes » pour la planète, pour la vie qui s’y déroule.
Cela me rappelle directement certains enseignements dont la vocation est l’éveil de l’Être humain à sa véritable nature. Ces enseignements qui nous invitent :
- à nous libérer de nos croyances limitées et de notre identification à la matérialité dense et passagère de nos corps terrestres ;
- à nous connecter à notre Être de lumière et d’énergie, libre et léger, vaste et lumineux, éternel et plein d’Amour ;
- à nous souvenir de ce que nous sommes ;
- à re-devenir ce que nous sommes déjà…
Postulat de base de ces enseignements : l’éveil n’est ni une question de croyances, ou d’accumulation de savoirs dans notre banque de données personnelle ; ni et encore moins une histoire d’adhésion aveugle à un système préétabli de l’extérieur, justifiant de se ranger aveuglément sous la bannière d’une école. L’humanité a usé et abusé d’expériences sous ce format-là. Pourquoi aujourd’hui, repasser encore et encore par ce déjà connu ? Pourquoi ne pas nous lancer, aujourd’hui, ici et maintenant, dans l’expérience révolutionnaire, comme disait Krishnamurti ?
L’éveil est une expérience intérieure, subtile et énergétique. Accessible à chacun d’entre nous. On nous parle d’énergie. Energie divine, énergie universelle... J’ai entendu mes professeurs de Médecine Chinoise dire à maintes reprises : « l’énergie est Une. Evitez de vous perdre dans les catégories rationnelles dont le rôle n’est que de nommer les différentes fonctions de l’énergie - nourricière, défensive…- ou ses mouvements complémentaires et opposés - yin / yang ».
Energie divine, cosmique, universelle ? E - NER - GIE !
Participer en conscience à la création, cette œuvre de Vie et d’Amour, dynamise l’activité énergétique au sein de la matière. Notre liberté est entière à tout moment. Les frontières, les limites à l’intérieur desquelles nous explorons sont sous le contrôle de nos choix à chaque instant.
La merveille est qu’en choisissant de nous connecter par le Cœur au réseau d’âmes évoluant et oeuvrant au sein du Mandala qui enveloppe la planète Terre, nous soutenons l’énergie d’Amour et de Vie dont la planète et l’humanité entière ont soif pour évoluer en conscience.
L’aventure vous tente ?
Alice, alors parvenue à un stade très avancé de la maladie d’Alzheimer est avec Anna, sa fille cadette, âgée d’une vingtaine d’années environ. Anna décrit pour sa mère la « vision » qui lui est venue dans l’avion qui l’emmenait vers elle.
Dans l’espace de vol compris entre les nuages et la couche d’ozone, où tout semble si calme et qu’on appelle tropopause, Anna a vu, perçu, les âmes organisées en un magnifique mandala occupées à « réparer » la couche d’ozone. Le mandala enveloppait, embrassait la planète entière. Les mots de tous les jours sont impuissants à décrire la beauté « extra ordinaire » qui s’en dégageait.
Dans le long silence qui suit, le regard d’Alice est en quête d’un quelque chose dans l’espace. Elle émet de petits « grognements » de plaisir sous le regard « insistant » d’Anna qui veut savoir si « ce qu’elle vient de lui dire lui a plu, et comment ça lui parle ». Grognements. Danse des regards. Visages si proches l’un de l’autre.
De manière inespérée pour le spectateur, les regards finissent par se rencontrer vraiment.
Alice prononce un seul mot : LOVE, suivi d’un sourire apaisé, profond.
LUMIERE blanche, immense. L’Amour est Lumière. Fin du film.
L’Amour du « Mandala des âmes » pour la planète, pour la vie qui s’y déroule.
Cela me rappelle directement certains enseignements dont la vocation est l’éveil de l’Être humain à sa véritable nature. Ces enseignements qui nous invitent :
- à nous libérer de nos croyances limitées et de notre identification à la matérialité dense et passagère de nos corps terrestres ;
- à nous connecter à notre Être de lumière et d’énergie, libre et léger, vaste et lumineux, éternel et plein d’Amour ;
- à nous souvenir de ce que nous sommes ;
- à re-devenir ce que nous sommes déjà…
Postulat de base de ces enseignements : l’éveil n’est ni une question de croyances, ou d’accumulation de savoirs dans notre banque de données personnelle ; ni et encore moins une histoire d’adhésion aveugle à un système préétabli de l’extérieur, justifiant de se ranger aveuglément sous la bannière d’une école. L’humanité a usé et abusé d’expériences sous ce format-là. Pourquoi aujourd’hui, repasser encore et encore par ce déjà connu ? Pourquoi ne pas nous lancer, aujourd’hui, ici et maintenant, dans l’expérience révolutionnaire, comme disait Krishnamurti ?
L’éveil est une expérience intérieure, subtile et énergétique. Accessible à chacun d’entre nous. On nous parle d’énergie. Energie divine, énergie universelle... J’ai entendu mes professeurs de Médecine Chinoise dire à maintes reprises : « l’énergie est Une. Evitez de vous perdre dans les catégories rationnelles dont le rôle n’est que de nommer les différentes fonctions de l’énergie - nourricière, défensive…- ou ses mouvements complémentaires et opposés - yin / yang ».
Energie divine, cosmique, universelle ? E - NER - GIE !
Participer en conscience à la création, cette œuvre de Vie et d’Amour, dynamise l’activité énergétique au sein de la matière. Notre liberté est entière à tout moment. Les frontières, les limites à l’intérieur desquelles nous explorons sont sous le contrôle de nos choix à chaque instant.
La merveille est qu’en choisissant de nous connecter par le Cœur au réseau d’âmes évoluant et oeuvrant au sein du Mandala qui enveloppe la planète Terre, nous soutenons l’énergie d’Amour et de Vie dont la planète et l’humanité entière ont soif pour évoluer en conscience.
Sunday, March 15, 2015
Acupression/Digipuncture - Q6 - Comment savoir si la pression est juste ?
Comment savoir si la pression de Digipuncture est juste ?
Pour commencer, rassurons les débutants tout de suite ! La main de l’innocent (celui qui ne sait pas) est juste. Son geste libre de tout savoir spécialisé, est instinctif, spontanément juste.
Qui n’a pas reçu les massages par pression d’un tout petit ? Ils font du bien justement parce qu’ils ne cherchent pas à "être bons".
Avec l’expérience, la tendance à comparer la pratique de l'instant avec les pratiques précédentes peut nous occuper l’esprit pendant que nous pratiquons la Digipuncture, aussi appelée Acupression.
Or cette tendance est un outil à double tranchant. Auto stimulante, elle nous pousse à nous améliorer - compréhension, technicité, connaissance de soi… Mais dans le même temps, nous pouvons nous laisser piéger dans cette démarche de comparaison qui nous éloigne de l’ici et maintenant de la pratique du jour.
La pression du vouloir « bien faire et réussir » est tout aussi dommageable.
Comment être juste dans ces conditions ? Comment retirer tous les bienfaits escomptés ?
Ces « travers » sont quasiment inévitables à tous niveaux d’ancienneté dans la pratique. Ils sont le levier par lequel nous pouvons aussi développer notre qualité d’Être.
A nous de trouver le moyen de tirer profit de leur présence sans laisser notre pratique en pâtir, ni devenir stérile par manque de champ laissé ouvert pour la sensibilité, la créativité.
Accordons-nous suffisamment de crédit ! Que les hésitations, les doutes, les peurs qui sont les nôtres ne puissent brider notre capacité intuitive, à nous auto-réguler et à améliorer par nous-mêmes notre santé générale ou notre vie psycho-émotionnelle. Faisons-nous confiance et notre pratique, que nous l’appelions Digipuncture ou Acupression, aura tout loisir d’être juste et efficace !
Sunday, February 1, 2015
La Lumière du Temps
Cette semaine en attendant mon tour à La Poste, j’explorais le rayon des bouquins. Celui d’Anita Moorjani a attiré mon attention ; le titre français est "Mourir pour vivre".
Livre témoignage de son expérience de la maladie, du coma, d'une expérience de mort imminente si riche d’enseignements qu’elle a choisi de revenir sur le plan terrestre pour les partager avec le plus grand nombre. Merci Anita, merci La Poste ! Retour à la maison, je regarde sur le net, et y trouve sans difficulté des vidéos conférences d’Anita. Génial.
Le lien de l'une d'elles dans sa version sous titrée en français est ici .
Quelques jours plus tôt, hasard ou pas, j’avais aussi regardé un documentaire américain présentant différentes personnes dont un physicien, ayant vécu des expériences de mort imminente (plutôt « accidentelles » dans leur cas) ainsi que de scientifiques sensibles par curiosité d’esprit au phénomène et à ses conséquences possibles et couramment observées. Le lien vers le documentaire est ici.
La similarité du message entre toutes ces personnes, Anita et les autres, est frappante.
Depuis le début des années 90, j’ai souvent croisé avec un intérêt croissant de tels témoignages. Plus récemment il me semble remarquer une évolution dans la qualité des enseignements retransmis à la suite de telles expériences.
Les personnes font part de plus en plus clairement de la dimension spirituelle, dans le sens universelle, de leur expérience. Comme si l’expérience de « quelques uns » avait vraiment vocation à informer le plus grand nombre et à encourager l’humanité entière à naître à ce qu’elle est réellement.
Comprenez : pas seulement une espèce en perdition sur une planète où elle aurait semé le chaos.
La souffrance globale née de l’identification totale à ce qui est perceptible par nos seuls organes sensoriels physiques, et donc reconnu comme seule vérité qui vaille, n’est pas un passage obligé, mais un choix fait dans la conscience « individuelle » (existe-t-elle vraiment ?) et collective. Le concept de non-séparation me suggère de mettre des guillemets faute de toute certitude avérée. « Nous ne sommes pas ce que nous croyons être ». Les enseignements traditionnels de l’Inde et d’autres cultures ont déjà balisé ce chemin depuis des millénaires. Je tâtonne à l’aveuglette à leur suite avec confiance dans la direction qu’ils indiquent.
Ces personnes retransmettent un message avec une certitude si étonnante que certains s’empresseront de la questionner comme étant douteuse, et en profiteront pour jeter le bébé avec l’eau du bain. Ce que je respecte pleinement même si... je ne suis pas de ceux-là ! Car bien sûr le message me parle en profondeur. Il vient conforter des ressentis intérieurs que la science ne viendra jamais valider. Et peu m’importe.
J’espère seulement que le doute des sceptiques est pour eux l’occasion d’une recherche fertile et non pas juste le motif d’un rejet, d’un dénigrement sur lequel ils ne reviendront pas, ni d’un assoupissement intérieur trop confortable.
J’ai soif de réalité : Que sommes-nous ? Qu’est-ce qu’Être vivant ?
Je veux sentir la Vie m’emporter et me nourrir dans son élan créateur infini, intemporel. Je veux vivre dans cette conscience là ! Maintenant, demain et chaque jour qui suit. Puisque dans le Temps, cette linéarité n’a aucun sens. Le Temps est Un.
Stephen Hawking, immense physicien du cosmos, théoricien du Temps, ne s’arrête jamais de chercher alors même qu’il est pionnier et touche à la vérité du cosmos de si près.
Il sait que plus tard, d’autres «théories» faites de connaissance et non seulement de calculs viendront peut-être et même certainement bousculer ses équations. Pourquoi ne pas en prendre de la graine ? Pourquoi ne pas vivre à hauteur des révélations astrophysiques d’aujourd’hui (incompréhensibles pour moi rassurez-vous), celles qui dynamisent notre époque et rejoignent, comme par hasard, les témoignages des humbles et nombreux quidams faisant l’expérience de mort imminente et revenant avec des messages sur la nature du Temps ?
Livre témoignage de son expérience de la maladie, du coma, d'une expérience de mort imminente si riche d’enseignements qu’elle a choisi de revenir sur le plan terrestre pour les partager avec le plus grand nombre. Merci Anita, merci La Poste ! Retour à la maison, je regarde sur le net, et y trouve sans difficulté des vidéos conférences d’Anita. Génial.
Le lien de l'une d'elles dans sa version sous titrée en français est ici .
Quelques jours plus tôt, hasard ou pas, j’avais aussi regardé un documentaire américain présentant différentes personnes dont un physicien, ayant vécu des expériences de mort imminente (plutôt « accidentelles » dans leur cas) ainsi que de scientifiques sensibles par curiosité d’esprit au phénomène et à ses conséquences possibles et couramment observées. Le lien vers le documentaire est ici.
La similarité du message entre toutes ces personnes, Anita et les autres, est frappante.
Depuis le début des années 90, j’ai souvent croisé avec un intérêt croissant de tels témoignages. Plus récemment il me semble remarquer une évolution dans la qualité des enseignements retransmis à la suite de telles expériences.
Les personnes font part de plus en plus clairement de la dimension spirituelle, dans le sens universelle, de leur expérience. Comme si l’expérience de « quelques uns » avait vraiment vocation à informer le plus grand nombre et à encourager l’humanité entière à naître à ce qu’elle est réellement.
Comprenez : pas seulement une espèce en perdition sur une planète où elle aurait semé le chaos.
La souffrance globale née de l’identification totale à ce qui est perceptible par nos seuls organes sensoriels physiques, et donc reconnu comme seule vérité qui vaille, n’est pas un passage obligé, mais un choix fait dans la conscience « individuelle » (existe-t-elle vraiment ?) et collective. Le concept de non-séparation me suggère de mettre des guillemets faute de toute certitude avérée. « Nous ne sommes pas ce que nous croyons être ». Les enseignements traditionnels de l’Inde et d’autres cultures ont déjà balisé ce chemin depuis des millénaires. Je tâtonne à l’aveuglette à leur suite avec confiance dans la direction qu’ils indiquent.
Ces personnes retransmettent un message avec une certitude si étonnante que certains s’empresseront de la questionner comme étant douteuse, et en profiteront pour jeter le bébé avec l’eau du bain. Ce que je respecte pleinement même si... je ne suis pas de ceux-là ! Car bien sûr le message me parle en profondeur. Il vient conforter des ressentis intérieurs que la science ne viendra jamais valider. Et peu m’importe.
J’espère seulement que le doute des sceptiques est pour eux l’occasion d’une recherche fertile et non pas juste le motif d’un rejet, d’un dénigrement sur lequel ils ne reviendront pas, ni d’un assoupissement intérieur trop confortable.
J’ai soif de réalité : Que sommes-nous ? Qu’est-ce qu’Être vivant ?
Je veux sentir la Vie m’emporter et me nourrir dans son élan créateur infini, intemporel. Je veux vivre dans cette conscience là ! Maintenant, demain et chaque jour qui suit. Puisque dans le Temps, cette linéarité n’a aucun sens. Le Temps est Un.
Stephen Hawking, immense physicien du cosmos, théoricien du Temps, ne s’arrête jamais de chercher alors même qu’il est pionnier et touche à la vérité du cosmos de si près.
Il sait que plus tard, d’autres «théories» faites de connaissance et non seulement de calculs viendront peut-être et même certainement bousculer ses équations. Pourquoi ne pas en prendre de la graine ? Pourquoi ne pas vivre à hauteur des révélations astrophysiques d’aujourd’hui (incompréhensibles pour moi rassurez-vous), celles qui dynamisent notre époque et rejoignent, comme par hasard, les témoignages des humbles et nombreux quidams faisant l’expérience de mort imminente et revenant avec des messages sur la nature du Temps ?
Subscribe to:
Posts (Atom)